Palmarès du Financial Times : les meilleures écoles de commerce sont françaises !
Le Financial Times vient de rendre public son classement annuel des meilleures écoles de management, largement dominé par les établissements français.
Le classement 2019 du Financial Times place cette année la France en excellente position : plus d’un-quart des formations distinguées sont françaises et HEC Paris redevient la meilleure Business School européenne.
26 Business School à la française dans le Top 100
Dans le Top 10 figurent d’abord trois établissements français : HEC Paris, INSEAD et ESSEC Business School. Trois autres établissements sont présents dans le Top 20 : ESCP Europe, Edhec Business School et EM Lyon Business School.
Viennent ensuite : Grenoble Ecole de management, Kedge BS, Audencia Nantes, Skema Business School, NEOMA Business School, Rennes School of Business, Toulouse Business School, IÉSEG School of management, IAE Aix-Marseille, Montpellier Business School, ICN Business School, IMT Business School, Essca School of management, La Rochelle Business School, EM Normandie, Burgundy School of Business, EM Strasbourg, ISC Paris, Université Paris-Dauphine et le Groupe ESC Clermont.
Les études de management : une excellence française
Le classement du Financial Times confirme cette année encore l’excellence de l’enseignement supérieur français dans la formation au management et au commerce.
Une méthodologie et des critères stricts
Pour établir son classement 2019, le Financial Times a analysé cette année 106 formations en management dans 27 pays, principalement en Europe, qui accueillent plus de 30 000 étudiants. Les écoles sélectionnées doivent être accréditées AACSB ou Equis. Le classement est basé sur des informations recueillies au moyen de deux enquêtes distinctes, auprès des écoles de commerce et, surtout, auprès des diplômés eux-mêmes. Une vingtaine de critères permettent de construire le palmarès final, parmi lesquels l’insertion professionnelle, la rémunération, la mobilité des diplômés, le niveau académique de l’école, son niveau d'internationalisation, ainsi que le taux de féminisation des formations.